Arrestation de Gilberto Mazzani
Posté : 12 mai 2024 13:37
Dans l'ombre des ruelles étroites de la ville, les membres de la Milice Pourpre avaient été mobilisés pour une mission d'une importance capitale : l'arrestation du ministre de l'agriculture, Mazzani, accusé de complot contre l'État. Sous la direction ferme du Colonel Mariani , les hommes de la milice s'étaient dispersés dans les quartiers, prêts à agir à tout moment.
Une nuit sombre enveloppait la ville lorsque les forces de la Milice Pourpre se mirent en mouvement. Des équipes spéciales, silencieuses comme des ombres, encerclèrent discrètement la résidence du ministre Mazzani. Les ordres étaient clairs : l'arrestation devait se faire sans incident, mais avec une détermination inébranlable.
Au moment convenu, les hommes de la milice surgirent de l'obscurité, leurs uniformes pourpres luisant faiblement à la lumière des réverbères. Les cris surpris des gardes de la résidence résonnèrent brièvement avant d'être étouffés par l'efficacité implacable de l'opération. Les portes furent enfoncées, et les hommes de la milice pénétrèrent dans la demeure du ministre, prêts à faire face à toute résistance.
Dans le hall principal, le Colonel Mariani menait l'assaut, son regard dur et déterminé fixé sur sa cible. « Mazzani, vous êtes accusé de trahison envers l'État », déclara-t-il d'une voix impérieuse. « Vous êtes en état d'arrestation. Résistez et vous le regretterez. »
Le ministre, visiblement choqué par cette intrusion soudaine, tenta de protester, mais les hommes de la milice l'encerclèrent rapidement, leurs armes prêtes à être utilisées en cas de besoin.
Sous la garde vigilante de la Milice Pourpre, l'ancien ministre Mazzani fut escorté hors de sa résidence, emmené vers un lieu de détention où il serait jugé pour ses crimes présumés contre l'État. Dans les rues de la ville, l'ombre de la milice planait, rappelant à tous ceux qui osaient défier l'autorité que la justice de l'État frazziliste était inexorable, et que nul n'était à l'abri de ses griffes.
Une nuit sombre enveloppait la ville lorsque les forces de la Milice Pourpre se mirent en mouvement. Des équipes spéciales, silencieuses comme des ombres, encerclèrent discrètement la résidence du ministre Mazzani. Les ordres étaient clairs : l'arrestation devait se faire sans incident, mais avec une détermination inébranlable.
Au moment convenu, les hommes de la milice surgirent de l'obscurité, leurs uniformes pourpres luisant faiblement à la lumière des réverbères. Les cris surpris des gardes de la résidence résonnèrent brièvement avant d'être étouffés par l'efficacité implacable de l'opération. Les portes furent enfoncées, et les hommes de la milice pénétrèrent dans la demeure du ministre, prêts à faire face à toute résistance.
Dans le hall principal, le Colonel Mariani menait l'assaut, son regard dur et déterminé fixé sur sa cible. « Mazzani, vous êtes accusé de trahison envers l'État », déclara-t-il d'une voix impérieuse. « Vous êtes en état d'arrestation. Résistez et vous le regretterez. »
Le ministre, visiblement choqué par cette intrusion soudaine, tenta de protester, mais les hommes de la milice l'encerclèrent rapidement, leurs armes prêtes à être utilisées en cas de besoin.
Sous la garde vigilante de la Milice Pourpre, l'ancien ministre Mazzani fut escorté hors de sa résidence, emmené vers un lieu de détention où il serait jugé pour ses crimes présumés contre l'État. Dans les rues de la ville, l'ombre de la milice planait, rappelant à tous ceux qui osaient défier l'autorité que la justice de l'État frazziliste était inexorable, et que nul n'était à l'abri de ses griffes.