Visite de courtoisie au Baron d'Arteylia
Posté : 22 juil. 2022 15:44
L'Hôtel de la Baronnie avait bien entendu était agité par ce qui commençait à se passer dans toute la capitale. On comprenait à peine le genre de troubles qui éclataient un peu partout en ville, et la police impériale avait dû se déployer en renforts un peu partout pour répondre aux appels d'urgence de nombreux citoyens inquiets. Et lorsque les forces de sécurité essayaient de contacter l'armée, aucune réponse. La plupart des canaux de communication étaient coupés et l'administration de la baronnie se trouvait démunie face aux évènements.
Un capitaine de la police impériale, arrivé en voiture dans la cour de l'Hôtel comme un cascadeur, s'était précipité à l'entrée et avait couru dans les couloirs et escaliers, traversant l'effervescence de l'Hôtel en panique, jusqu'au bureau du Baron pour prévenir de ce qui se passait.
Votre Grâce, la ville est attaquée ! L'armée est en pleine rébellion, il faut déclarer l'état d'urgence et prévenir les populations !
Mais trop tard. On entendit quelques secondes à peine après l'arrivée de l'officiel des jeeps qui arrivèrent à leur tour dans la cour. Par la fenêtre, on voyait un groupe d'une trentaine de militaires en sortir. Les policiers impériaux qui gardaient les portes, furent abattus à peine leurs armes sorties. Les militaires entrèrent et on entendait depuis le bureau l'agitation se muer en cris de panique et en vociférations. Des policiers accourèrent à leur tour au bureau et commencèrent à barricader la porte du bureau, armes sorties, prêt à protéger le Baron des insurgés.
En vain, hélas. Les militaires arrivèrent et essayèrent de forcer la porte. A peine les quelques chaises et la commode qui bloquaient la porte furent-ils écartés que des tirs nourris s'échangèrent entre les militaires et les policiers, alors que le baron restait caché derrière son bureau, le capitaine avec lui. Finalement, après quelques échanges, les militaires entrèrent dans le bureau. Un soldat frappa l'officier de police et un autre releva le baron de force pour le présenter au militaire le plus haut gradé du groupe.
Baron Juan, l'État-Major a prononcé la suspension des autorités civiles et la mise sous tutelle de la cité d'Arteylia, et je viens réclamer à ce que vous vous mettiez à ma disposition en tant que commandant du district militaire d'Arteylia. Il est très... fâcheux, que vos policiers aient décidés de faire obstacle à l'ordre donné par l'État-Major - dit-il en poussant du pied le corps gisant d'un des policiers impériaux restés assurés la protection du Baron. Je vais vous demander de bien vouloir nous suivre.
Un capitaine de la police impériale, arrivé en voiture dans la cour de l'Hôtel comme un cascadeur, s'était précipité à l'entrée et avait couru dans les couloirs et escaliers, traversant l'effervescence de l'Hôtel en panique, jusqu'au bureau du Baron pour prévenir de ce qui se passait.
Votre Grâce, la ville est attaquée ! L'armée est en pleine rébellion, il faut déclarer l'état d'urgence et prévenir les populations !
Mais trop tard. On entendit quelques secondes à peine après l'arrivée de l'officiel des jeeps qui arrivèrent à leur tour dans la cour. Par la fenêtre, on voyait un groupe d'une trentaine de militaires en sortir. Les policiers impériaux qui gardaient les portes, furent abattus à peine leurs armes sorties. Les militaires entrèrent et on entendait depuis le bureau l'agitation se muer en cris de panique et en vociférations. Des policiers accourèrent à leur tour au bureau et commencèrent à barricader la porte du bureau, armes sorties, prêt à protéger le Baron des insurgés.
En vain, hélas. Les militaires arrivèrent et essayèrent de forcer la porte. A peine les quelques chaises et la commode qui bloquaient la porte furent-ils écartés que des tirs nourris s'échangèrent entre les militaires et les policiers, alors que le baron restait caché derrière son bureau, le capitaine avec lui. Finalement, après quelques échanges, les militaires entrèrent dans le bureau. Un soldat frappa l'officier de police et un autre releva le baron de force pour le présenter au militaire le plus haut gradé du groupe.
Baron Juan, l'État-Major a prononcé la suspension des autorités civiles et la mise sous tutelle de la cité d'Arteylia, et je viens réclamer à ce que vous vous mettiez à ma disposition en tant que commandant du district militaire d'Arteylia. Il est très... fâcheux, que vos policiers aient décidés de faire obstacle à l'ordre donné par l'État-Major - dit-il en poussant du pied le corps gisant d'un des policiers impériaux restés assurés la protection du Baron. Je vais vous demander de bien vouloir nous suivre.