[Attention : RP violent. Lecture déconseillée aux âmes sensibles] Opération Grand Nettoyage

[Police Impériale]

Opération « Grand Nettoyage »

Avertissement MJ : Les passages masqués par un spoil contiennent du contenu sensible et violent. Leur lecture est fortement déconseillée aux plus jeunes. Âmes sensibles, s'abstenir. Nous tenons également à rappeler que nous n'appelons à et ne cautionnons aucune forme de haine ou de violence envers une catégorie spécifique de personnes pour un motif quelconque. Le texte rp qui suit s'inscrit dans le cadre d'une fiction. Il doit le rester.

La Milice Pourpre, après avoir fait le ménage parmi les nobles, reçu sa deuxième mission de la journée, détruire et brûler le siège du Parti Communiste Naroisien. Ainsi, vers 2 heures du matin, alors qu'étaient présent au siège de nombreux communistes, les véhicules blindés de la Milice arrivèrent dans la rue du dit-siège. Des miliciens sécurisèrent la zone et contrôlèrent les habitations alentours tandis que les autres commençaient à encercler le siège scélérat, attendant l'arrivée de « renforts » leur avait-on dit.

Et ceux-ci ne se firent pas attendre. En effet une centaine d'hommes issus du service d'ordre du PNDLCN, armés de torches et de fusils débarquèrent de plusieurs camions. Ravagés de l'intérieur, prêts à se donner corps et âmes pour leur Guida. L'attaque fut lancé par un haut gradé pourpre. Les miliciens et les hommes du service d'ordre entrèrent en trombe dans les locaux communistes.

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Les communistes présents au siège furent tous rassemblés dans la cour intérieure. Forcés à s'aligner, à genoux comme des bêtes que l'on rassemblerait en troupeaux. Des hommes armés pointaient leurs armes sur ces corps rassemblés inhumainement dans la nuit froide à grands coups d'insultes et de pression. Quelques miliciens passaient parmi les rangs, comptabilisant et enregistrant leurs prises.

Un haut-gradé de la Milice Pourpre traversa la cour et regarda attentivement toutes ses proies. Avant de retourner dans les bâtiments, il distribua un ordre à quelques miliciens présents dans la cour en désignant discrètement quelques personnes. Les hommes les firent lever et sortirent de la cour avec le petit groupe.

A l'intérieur du siège, on se donner corps et âme à rassembler et à jeter les livres et documentations vakéministes et communistes par les fenêtres donnant sur la rue. En bas, des hommes en faisait des tas. Les miliciens et les hommes du service d'ordre saccageaient violemment tout ce qui pouvait l'être. On renversa les meubles, brisa les chaises et les empila en y mettant le feu. Tout cela dura près d'un quart d'heures. Un quart d'heures durant lequel la haine et le fanatisme se déversa contre le siège du Parti.

Dans la cour, illuminés par des projecteurs froids, les communistes se terraient sous leurs ridicules vestes. La plupart tentait de se réfugier dans le silence, cherchant de l'espoir et tentant de lutter contre la peur grandissante de mourir. Rares étaient ceux qui osaient chuchoter pour essayer tant bien que mal de rassurer leurs compagnons. Certains pensaient à leur famille, d'autres qu'ils auraient dû fuir eux aussi. Quelques uns pensèrent brièvement à se rebeller. Mais comment ? Leurs espoirs furent totalement brisés lorsqu'un autre officier de la Milice entra dans la cour et lut l'ordre d'exécution.

L'officier : Au vu des récentes actualités, notamment la fuite de la direction du Parti Communiste Naroisien,
Considérant l'Internationale Communiste et ses laquets comme des ennemis de l'Empire,

Le Comité Central de la Milice Poupre ordonne la destruction totale du siège du Parti Communiste Naroisien ainsi que l'élimination systématique de l'ensemble des communistes présents dans les locaux. […]

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L'officier, après avoir lut le document, se retourna vers un de ses confrères, le salua puis quitta la cour pour rejoindre un véhicule de la Milice. Des ordres furent aboyés et les balles transpercèrent les corps in-humanisés, rassemblés dans la peur au milieu de cette cour aux pavés glacés et trans-perçants. Vidés de vie, les communistes s'effondrèrent au beau milieu de leur siège. Des miliciens firent le tour de chaque cadavre n’hésitant pas à déverser leur haine un peu plus.

Les hommes du service d'ordre du PNDLCN mirent le feu aux livres rassemblés dans la rue ainsi qu'à l'ensemble des bâtiments du siège tandis que les miliciens rejoignaient leurs véhicules respectifs. Tous partirent des lieux et laissèrent l'esprit communiste naroisien pourrir dans les flammes.

Les ordres du Guida furent exécutés.